Un homme en quête d'une autre vie

**James Waldon** se ballade sur la Carte du Maraudeur

« ♣ James Waldon ♣ »
[Feat. Jonathan Rhys Meyer]

Pour comprendre mon histoire, il faut remonter bien avant ma naissance. A l'époque, ma mère éprise d'un loups, venait d'apprendre qu'elle était enceinte. Traquée par des vampires qui ne voulait en aucun cas voir apparaître un sorcier loups, dû s'exiler de sa ville, Amaranth, et s'enfuir loin, très loin, trop loin...

C'est ainsi que je naquit quelques mois plus tard à New York, il y a vingt deux ans. Loin du lieux où j'aurais vraiment pu me sentir chez moi. Pendant ma petite enfance, ma mère trouva le moyen de m'enlever la malédiction qui peser au dessus de ma tête, comme une épée de Damoclès. Ainsi, je n'avais plus aucun moyen de pouvoir devenir Loups, à moins que l'on me morde bien évidemment. Une chose qui ne fut pas de trop, en effet mes pouvoirs de sorcier se manifestèrent très vite. J'étais encore tout jeune, à peine trois ans quand mon pouvoir se révéla. Je récupéra dans mes mains un oiseau à l'agonie, attaqué par un chat. Désirant plus que tout qu'il se rétablisse et vive, je hurlais à ma mère des supplication tout en versant une ou deux larmes. Elle comptait faire quelque chose quand l'oiseau s'envola de mes mains, comme si de rien était. Ma mère découvrit ce jours là ma malédiction et le moyen qu'elle avait trouvé pour subsister sans devoir travaillé. Je me ferrai exploiter. Ainsi jusqu'à mes douze ans, ma mère récolta une très jolie somme en me faisant soigné toute sorte de blessures et maladie. Au début très épuisé par la dépense d'énergie, à la fin je pouvais soigner de cancer et trois fracture en une heure sans éprouver la moindre fatigue. Apprenant dans un second temps la magie ordinaire, je devint très vite doué. La résistance que m'avait appris mon pouvoir m'étais fort utile pour les sorts. Après tout, il fallait que j'assure, j'étais l'enfant miracle...

A dix ans, le compte de ma mère plein à craquer et un ras-le-bol flagrant, ma mère compris que j'allais devenir un adolescent rebelle alors elle m'envoya en pensionnat. Je continue pour ma part de penser surtout que le quartier du Bronx où nous vivions n'avait plus de malade et je devenais un poids pour elle. C'est peuvent sembler dur mais je m'y suis très vite habitué, elle et moi n'avons jamais été très proche. Elle avait toujours voulu une fille pour perpétué la tradition familiale des sorcière de Salem. Alors un homme là dedans faisait tache...

C'est au pensionnat que ma vie commença vraiment, Je m'installa à mon propre compte, dans l'ombre. Je soignait surtout des plaie et des petite maladie, mais j'y gagnais énormément de bonbons ou autre fournitures nécessaires. Je grandi alors et c'est fournitures devint alors de l'argent. A dix huit ans, j'en eu marre de cette vie et décida de m'installer à mon compte, pratiquant de "la médecine alternative", beaucoup plus efficace et beaucoup plus cher que la médecine normale. Mes affaires marchait bien lorsqu'un vampire vint croiser ma boutique et comprendre mon don. Il fit chanter pour que je lui enchante une bague lui permettant de vivre le jour. Soit, je le fit. Le vampire avais juste omis de me préciser que l'enchantement devait être permanent, tant pis pour lui... Harcelé par ma mère et d'autre vampires et créatures fantastiques, je m'enfuis en Floride où je m'installa une nouvelle fois à mon compte, faisant moins de vague. C'est la que je vis jusqu'à mes vingt ans, et c'est ici que je rencontrai mon ancienne petite ami, Anna. Elle avait foi en mon don, sauf le jour ou je ne pu la sauvé, après qu'elle se prit une balle dans le cœur par un bandit venue l'agresser pour les quelques malheureux dollars qu'elle avait dans son sac.

Attristé par sa mort, je décida de tout plaquer et d'errer dans le pays jusqu'à ce que le destin m'arrête. Achetant alors une Harley noire avec un blouson en cuir, je fit défiler les kilomètres, m'arrêtant pour aider toute personne humaine dans le besoin, faisant souffrir les vampire et loups garou que je croisait. Je passa deux ans a sillonner les routes de cette manière....

C'est seulement il y a quelques mois que j'ai découvert Amaranth et son infestation. Je décida alors de m'y arrêté pour aider les pauvres habitant de la ville contre ses satané suceur et leur toutou...

Quand j'y pense encore je trouve ça plutôt drôle, Je suis passé, au fil de ma vie, d'enfant miracle à chasseur de créature fantastique, qui sais ce qui m'arriveras encore...

«

22 ans

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New York 28 octobre 1988

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You're under my spell

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Peut, en utilisant son énergie vitale, Soigner n'importe quel blessure et autre maladie

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Inventé [X]

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Calme // Séducteur // Intelligent // Mystérieux // Neutre // Romantique // Gentil // Distant // Méfiant // Solitaire // Déteste les chiens // N'aime pas les prise de sang... blase

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hétéro

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Célibataire

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La vie ne vaut rien si personne n'est la pour la partager...

« Votre Prénom [ ou Pseudo] : Cynwall
« Age : 22 ans
« Comment avez vous connu le forum ? :
« Qu'en pensez vous ? :
« Votre présence ? : Alors en semaine A 4/7 mini et en semaine B... 4/7 mini
« Votre niveau de RP ? : Entre 1 et 20 / 20

« Exemple de Rp :

Spoiler:

Dans l'ombre d'un grand chêne je m'étais assis. Un petit moment de repos après couvert tant de terrain. Après tout ce temps, je ne me rappelais même plus ce que je cherchais, pas grave. Ayant pris quelques minutes pour souffler un peu et profiter de la nature autour de moi, sentir l'odeur des arbres et des animaux plus loin. J'étais dans mon élément. Me relevant, je repris mon chemin. J'arrivais alors à la lisière de la forêt, près du lac. Regardant autour de moi, je retrouvas très vite le coin par où j'étais entrée plutôt dans la matinée. Je décida alors de redevenir humain. Inspirant un dernière fois avec mon museau, je profita de ses odeurs un dernière fois avant de redevenir humain. Ma fourrure aussi noire que la nuit se transformait petit à petit en peau et je me retenait de hurler mon chagrin. J'aurais tant aimer ne plus pouvoir redevenir humain et rester loups pour le reste de ma vie. Malheureusement pour moi, c'était impossible. J'optais donc pour me transformait le plus souvent et le plus longtemps possible. Étant âgé de plus d'un millénaire, j'avais appris à contrôler ma transformation ainsi que mon moi animal. Ainsi je me rappelais de ce que je faisais et pouvais me contrôler un peu plus. Les carnages sont bien trop difficile à dissimuler et je dois bien admettre que la supercherie des vampire force l'admiration.

Me rhabillant ensuite à l'aide de vêtement que j'avais disposer un peu plus loin, je sortis de cette lisière et arriva devant ce lac magnifique. La nature avait réaliser de magnifique chefs d'œuvre. En parlant de chefs d'œuvre, un magnifique demoiselle était assise sur un banc un peu plus loin devant moi. Les alentours étaient désert depuis le départ d'une femme avec ses enfants. Tant mieux, je pourrais ainsi profiter tranquillement de la jeune femme. Ou sinon, je profiterais du lac un peu plus loin devant elle. Je m'approchai alors discrètement de la demoiselle quand un brindilles craqua. Ah ce corps humain et vraiment bof après avoir passa la première partie de la journée en loups. Plus je me rapprochait de la demoiselle, plus je sentais cette odeur de louve. Plus qu'une odeur, c'était plus de l'instinct, je sentais qu'elle avait ce gêne en elle. Tant mieux, l'approche serait ainsi plus simple.

Réfléchissant très vite à ce que j'allais lui dire, je souris. Une de ces idées certes quelques peu perverse mes passa par la tête. Je décida alors de faire l'ignorant et, tout en continuant d'avancer, je passa à ses côtés et continua mon chemin jusqu'au bord du lac, quelques mètres plus tard. Je baissa d'abord la tête, regardant l'eau devant moi. Elle était limpide. Prenant alors une bouffée d'air, j'étendis mes bras laissant s'échapper un "Mmmh!" de bien être.

Je me retournai alors devant la demoiselle un sourire charmeur s'affichant sur mon visage. Je fis alors quelques pas en sa direction, laissant ainsi deux mètres entre elle et moi.

Bonjour mademoiselle !

Lui dis-je, Une pure politesse feinte à la perfection. Je me retournai alors vers le lac, comme si de rien n'était.

Belle vue n'est-ce pas ?

Certes Ma méthode était un peu trop visible , mais tant pis, après tout qui tente rien non ? Et puis la belle demoiselle en valait vraiment la peine...

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